les mémoires de Teulet
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les mémoires de Teulet
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L'épopée napoléonienne ne serait rien sans l'engagement extrême de tous ces braves soldats qui ont porté bien haut la renommée des armées françaises. Raymond Teulet est l'un d'eux. Un homme brave et bon, un militaire intrépide auquel rien ne fait peur. Ainsi, lorsqu'il est porté à la tête de nouvelles troupes le 17 février 1814, la présentation est vite faite : "Grenadiers, nous ne nous connaissons pas, nous allons faire connaissance. Voilà deux pièces qui nous gênent. Si l'ennemi nous attend, elles sont à nous..." Volontaire en 1791, il reçut un sabre d'honneur à la bataille de Castiglione. Appelé en Espagne, il combattit héroïquement dans la plaine de Bailén où il ne se rendit pas mais cessa le combat après avoir eu deux chevaux tués sous lui et trois balles dans le ventre. Les cinq années de captivité qui suivirent, à Palma de Majorque et Chesterfield, n'eurent pas raison de sa combativité car on le retrouva à la tête du 67e de ligne pendant toute la campagne de 1814, infligeant aux Autrichiens leurs derniers revers face à l'armée de Lyon. Si ses mémoires nous font revivre ses combats, sa correspondance postée aux quatre coins de l'Europe nous entraîne dans l'intimité de l'officier et de sa famille, nous faisant partager ses joies, ses espoirs, mais aussi la dureté de la séparation et de l'exil après la chute de l'Empire et jusqu'à sa mort en 1828.
L'épopée napoléonienne ne serait rien sans l'engagement extrême de tous ces braves soldats qui ont porté bien haut la renommée des armées françaises. Raymond Teulet est l'un d'eux. Un homme brave et bon, un militaire intrépide auquel rien ne fait peur. Ainsi, lorsqu'il est porté à la tête de nouvelles troupes le 17 février 1814, la présentation est vite faite : "Grenadiers, nous ne nous connaissons pas, nous allons faire connaissance. Voilà deux pièces qui nous gênent. Si l'ennemi nous attend, elles sont à nous..." Volontaire en 1791, il reçut un sabre d'honneur à la bataille de Castiglione. Appelé en Espagne, il combattit héroïquement dans la plaine de Bailén où il ne se rendit pas mais cessa le combat après avoir eu deux chevaux tués sous lui et trois balles dans le ventre. Les cinq années de captivité qui suivirent, à Palma de Majorque et Chesterfield, n'eurent pas raison de sa combativité car on le retrouva à la tête du 67e de ligne pendant toute la campagne de 1814, infligeant aux Autrichiens leurs derniers revers face à l'armée de Lyon. Si ses mémoires nous font revivre ses combats, sa correspondance postée aux quatre coins de l'Europe nous entraîne dans l'intimité de l'officier et de sa famille, nous faisant partager ses joies, ses espoirs, mais aussi la dureté de la séparation et de l'exil après la chute de l'Empire et jusqu'à sa mort en 1828.
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Par définition un historien se doit d'éclairer certaines zones d'ombres du passé. Ayant de droit accès à toutes les archives ouvertes, il s'appuie sur ses recherches pour délivrer ses résultats, quitte à briser quelques clichés.
Président de la S.E.H.R.I.
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