volontaires de Paris

Boutons de volontaires de Paris, dont un d'officier doré, période 1791 - 1792

http://assosehri.chez.com/gardenationaleet/page4.html

Ajout d'une rubrique sur les bataillons de volontaires de Paris, vaste sujet, nous abordons sur le nouveau site SEHRI dédié aux volontaires l'histoire du 1er bataillon des grenadiers de Paris, et du 1er bataillon de la République :

http://lesbataillonsdevolontaires.wifeo.com/bataillons-de-paris.php

UN BATAILLON DE VOLONTAIRES AUX ANTILLES :
LE 1ER BATAILLON DE LA REUNION 1793 -1802

LA GUERRE DANS L' OUEST

C’ est par la réunion de diverses compagnies de volontaires, venues de toute la France, que fut formé le bataillon de la Réunion, le bien nommé, parrainé par la section parisienne du même nom.

Le bataillon est réuni à Meaux et son organisation se termine le 25 Décembre 1792.
La 1ere compagnie avait été formée à Autun, la seconde à Maintenon dans l’ Eure, deux compagnies venaient de Seine et Oise, une autre de Saône et Loire, une de Valognes et une de Cherbourg.
Particularité : une femme, Elisabeth Bourges était dans ses rangs, engagée sous un nom d’ emprunt. Elle servit 5 mois avant d’ être reconnue comme de sexe féminin et partit avec un certificat de congé louant sa bonne conduite dans le bataillon et une gratification de la Convention Nationale !.
Le Lieutenant colonel en premier: Chauron et le lieutenant colonel en second Foucher sont à la tête de l’ unité.
A la fin de Janvier 1793, le bataillon est envoyé à Valognes .
Puis en Avril, il fait partie de l’ Armée des Côtes de Cherbourg et reste stationné à la Hougue jusqu‘ en Juin puis à Coutances jusqu‘ en Octobre.
Le 3 novembre 1793, les Vendéens s‘ emparent de Fougères.

Après l‘ échec de Granville qui marque la fin de  "la virée de Galerne" , l‘ Armée des Côtes de Cherbourg se lance à la curée. Le bataillon combat à Dol le 21 novembre et est repoussé.
Puis on l' envoie à l ‘ Armée de l‘ Ouest et il prend part à la reprise d‘ Angers les 3 et 4 Décembre . Poursuivant les Vendéens, il se retrouve devant Le Mans.

En fin Décembre 1793, le bataillon revient à Angers.
Il est employé au début 1794 dans le département de la Vendée, aux Herbiers puis à Cholet.
En Mars, il passe à l’ Armée des côtes de Brest dans le département du Morbihan, où il participe à de petits combats .
En Juillet à la Roche Sauveur , il compte 863 hommes à l’ effectif
Le 13 Août il est réuni à Vannes puis à Lesneven et on se propose de l’ embarquer pour la Guadeloupe à partir de Brest.

EMBARQUEMENT POUR LA GUADELOUPE

C ’est le 30 Vendémiaire an 3 ( 21 Octobre 1794) que notre bataillon entièrement réorganisé est embarqué pour la Guadeloupe, pour accompagner les commissaires Goyrand et Lebas avec le bataillon des Antilles formé de 500 blancs et 200 hommes de couleur ( dont un certain Magloire Pelage que nous reverrons) commandé par le chef de bataillon Cottin et une compagnie d’ Artillerie de 120 hommes .


Notre bataillon de la Réunion est réparti sur les Frégates l’ Insurgente, l’ Astrée et le Volontaire , la flûte: La Normandie reçut la 8e compagnie. La Semillante, la Thetis et le Duras reçurent le reste ( 3 compagnies et les canonniers) . On mit la voile le 3 Brumaire.
Le 5 Janvier 1795 le Duras fut capturé avec son équipage et ses passagers . Le reste de l’ expédition atteint Pointe à Pitre le 10 Janvier.

La Guadeloupe, où règne sans partage le commissaire de la Convention, le marseillais Victor Hugues

Cet ancien Conventionnel a réussi à récupérer la Guadeloupe des mains des Anglais avec une poignée de soldats ( un seul bataillon de Sans -Culottes (sic) ) et l’ aide des esclaves qu’ il a libérés puis enrégimentés.
Utilisant des méthodes impitoyables, il a brisé toutes les résistances contre la République.... et son pouvoir, tout en n’ oubliant pas de se servir au passage.

Or, un de ceux qui viennent de débarquer peut lui faire de l’ ombre: il s’ agit du commissaire Goyrand, car son collègue Lebas totalement inculte et corrompu sera facile à circonvenir ….
Victor Hugues convainc donc Goyrand d’ aller s’ emparer de Sainte Lucie alors aux mains des Anglais.
Ce qu’ il fait le 22 Avril 1795, réduisant les Anglais à une poche de résistance au Morne Fortuné.
Après un siège de deux mois, les Anglais évacuent dans la nuit du 18 au 19 Juin, Goyrand s’ occupant désormais de l’ île reconquise , Victor Hugues a les mains libres en Guadeloupe.
Pendant ce temps, le 11Avril 1795 le bataillon de la Réunion est envoyé à Saint Martin et y laisse sa 4e compagnie

( a suivre)

bravo, camarades et amis sociétaires pour ces travaux

Notre bataillon séjourne donc dans les Antilles françaises et y est rejoint par son dépot de Brest en Avril 1796.
Une de ses compagnies ( la 2eme du capitaine Gouppey) va occuper la petite île de Saint Eustache en 1799.

LE TEMPS DES EPREUVES 1801-1802

Victor Hugues avait été remplacé sur la fin du Directoire par le général Desfourneaux au commandement de la Guadeloupe; et ce dernier avait du laisser la place à un triumvirat, dont le général Laveau, qui s' étant déchiré avait fait appel au nouveau Premier Consul pour trouver une solution.
En Mars 1801, Saint Martin est reprise par les Anglais et la garnison est prisonnière de guerre ( 4e compagnie du bataillon de la Réunion )

Bonaparte, qui réorganisait les colonies, avait désigné un nouveau Capitaine Général en la personne du contre amiral Lacrosse.
Ce personnage ambigu connaissait bien l' ile ( il y avait servi comme un farouche républicain en 1793) mais il ferait preuve d' une coupable politique comme nous allons le voir.
Lorsque Lacrosse aborde l' ile, le 29 Mai 1801, avec 400 hommes de renforts, il trouve une situation militaire favorable . L' ex armée de Victor Hugues mêlant troupes européennes ( dont notre bataillon de l' Union) et noires se monte à 4000 hommes bien entrainés .
Mais la situation économique est par contre désastreuse.

Dès son arrivée, Lacrosse fait preuve d' un racisme anti-noir tellement outrancier que la situation sur l' île devient rapidement explosive .....
Il réorganise les troupes sur l' ile, donnant la prééminence aux troupes européennes.
C 'est ainsi que notre bataillon de la Réunion se voit rebaptisé: "1er bataillon d' infanterie de Ligne de l' Armée de la Guadeloupe"

Le général Bethencourt qui commandait nominalement la garnison étant emporté par la fièvre jaune, le commandement devait revenir au colonel Magloire Pelage, homme de couleur , mais qui avait défendu la Martinique en 1794, et était revenu en Guadeloupe en même temps que le bataillon de la Réunion.
Lacrosse annule la nomination prévue et l' attribue à son propre chef d' Etat- Major d' un grade inférieur ..
La garnison de Base Terre se mutine à cette nouvelle.
Lacrosse ordonne l' état de siège et fait procéder à des arrestations parmi les officiers de couleur.
Pelage et ses subordonnés entrent alors en dissidence ouverte en Octobre 1801, tout en se réclamant de la République.
Une commission provisoire de gouvernement est formée par les insurgés.
Après un essai de discussion infructueux avec Lacrosse qui exigeait le désarmement de toutes les troupes noires, Pelage fait embarquer Lacrosse pour qu' il quitte l' île.

Celui ci, capturé par les Anglais, est remis en liberté en raison des préliminaires de la Paix d' Amiens. et va se réfugier à la Dominique sous protection britannique, d' où il écrit au Premier Consul pour décrire une situation apocalyptique.....

Si la situation en l' était pas au début où Pelage essayait de maintenir l' ordre tant bien que mal avec les troupes à sa disposition( dont notre bataillon) elle finit par le devenir, malgré ses efforts désespérés pour rester dans une certaine légalité( contact avec Leclerc à saint Domingue et tentatives de discussion avec le préfet colonial refugié aussi à la Dominique) avec des massacres de colons blancs.

Pendant ce temps Bonaparte confiait le commandement d' une expédition pour rétablir l' ordre au général Richepanse. ( à suivre)

La compagnie de Chasseurs carabiniers des Quatre Nations

Parmi les compagnies franches levées par Paris, il est celle des Chasseurs carabiniers des Quatre Nations.
C ' est le commandant du bataillon de Saint Germain des Prés, de la Garde Nationale de Paris, en fin Juillet 1792 qui l' organise.
Le 30, ils défilent devant l' Assemblée au milieu des applaudissements des députés.
Le commandant de cette compagnie était tout trouvé en la personne de son instigateur: Luc Antoine Vincent que ses nouveaux chasseurs supplient de se mettre à leur tête, bien qu' il ait une femme et deux enfants.

Il jure donc ainsi que ses hommes " d' être fidèle à la Nation, de maintenir de toutes ses forces la Liberté, l' Egalité ou de mourir au poste ou la Patrie voudrait les placer"
( sic)
Le 28 Août, la compagnie qui compte 150 hommes est désignée pour servir d' avant garde aux renforts que l' on mobilise vers les frontières Est après les chûtes de Verdun et de Longwy.
Avec 1800 grenadiers et 1800 chasseurs de la Garde Nationale de Paris, des Fédérés brestois et marseillais et 2000 hommes de Gendarmerie Nationale, ils sont dirigés sur Châlons.

A Valmy, les chasseurs carabiniers sont à l' avant garde du général Stengel, le 20 Septembre 1792. Dumouriez pourra écrire à Stengel:
" c 'est à vous que nous devons le succès d' hier. Vos troupes se sont conduites héroïquement et particulièrement la compagnie de chasseurs de Paris, qui n' ayant jamais fait la Guerre aurait pu marquer de l' étonnement. Avec de pareilles troupes nous devons battre les esclaves du Nord"....

C 'est ainsi qu' auréolée d' une nouvelle gloire, la compagnie se trouve à l' avant garde de l' Armée qui s' enfonce en Belgique en Novembre 1792.
Elles est au combat du moulin du Boussu puis à Jemappes où elle se fait de nouveau remarquer par les commissaires de la Convention.
" les chasseurs à pied de Paris, nouvellement organisés se conduisent parfaitement et se battent comme des lions".

Ils entrent à Bruxelles puis à Liège le 28 Novembre, couverts d' éloge par le général en chef.
Puis c' est le retrait de la Belgique et la trahison de Dumouriez.

La compagnie fait partie des tentatives pour délivrer la garnison de Valenciennes fin Avril début mai 1793
( combats de St Saulve et Raismes). En essayant de desserrer l' étau aux cotés des chasseurs de la Légion du Nord, des troupes belges et de vieux régiments de la ci devant Armée royale, qui ont bien du mal à entraîner les nouvelles recrues, elle a de nouvelles pertes......

Les coalisés reprennent l' offensive en Août et la compagnie est dans les flanqueurs de gauche de l' Armée du Nord où sa présence rassure tout le monde, car ses carabines font merveille.
A la fin Octobre, ils sont à Marchienne. Le 30, la garnison est attaquée par le Prince d' Orange et un certain nombre de chasseurs sont capturés, dont le nouveau capitaine Melissard.
Le 29 mars 1794, la compagnie est incorporée dans le 5e bataillon de Chasseurs francs du Nord dont elle forme la majorité de la compagnie de carabiniers.

http://lesbataillonsdevolontaires.wifeo.com/bataillons-de-paris.php


voici la suite de l'organisation des bataillons de Paris, dans un premier temps nous avons posé ce que nous possédions à propos des bataillons que nous connaissons des levées de 1791 et 1792, une autre section s'intéressera à ceux des années suivantes, une autre à ceux levés pour la Vendée et une dernière à toutes les compagnies de chasseurs, franches, de canonniers et autres levées dans Paris.

ayant zappé a compagnie des Quatres-Nations, je viens de l'intégrer à mes fichiers, merci Didier !

Des volontaires de Paris d' après Knoetel: en blanc la Légion de Dutruy,en vert vraissemblablement un chasseur carabinier des Quatre Nations et en marron un officier de volontaires
" dit de Santerre" pour la Vendée.

contrairement aux apparences je ne suis pas inactif, je suis sur un gros morceau, le 1er bataillon de Paris, je poserais son historique dans quelques jours, en attendant je planche !

http://lesbataillonsdevolontaires.wifeo.com/le-1er-bataillon-de-paris.php

Voici une rubrique consacrée uniquement au 1er de Paris, le travail ici présenté est celui de Louis Chassin, qui a écrit l'histoire des volontaires de Paris, énorme travail que nous saluons ici, nous aimerions en trouver beaucoup de cette qualité !

Sacré travail......

La rubrique des volontaires de Paris de 1791 et 1792 été pour ainsi dire carrément misérable.... la voici majorée... il y a une montagne de travail à faire là dessus mais voici déjà un premier jet d'informations

http://lesbataillonsdevolontaires.wifeo.com/bataillons-de-paris.php

en plus de ce travail s'ajoute désormais une 4ème rubrique dans le département de Paris, due aux travaux de Didier et de moi-même :

http://lesbataillonsdevolontaires.wifeo.com/compagnies-et-unites-diverses-de-paris.php


elle concerne les compagnies et unités diverses levées dans Paris et son département

et pour finir sur le département de Paris pour aujourd'hui, j'ajoute un troisième lien, une 5ème rubrique consacrée aux levées tardives de Paris, et les derniers bataillons levés par la Capitale :

http://lesbataillonsdevolontaires.wifeo.com/les-levees-tardives-de-paris.php

Les officiers furent désignés dès le 20 septembre1792 et les ss off seulement le 28 Octobre 1792
C est le 13 Novembre 1792 que le général Berruyer ordonna à la compagnie de gagner Metz.
La compagnie prend part à lexpeditin de Treves sous Beurnonville.Le 13 décembre elle participe à la prise des hauteurs de Wavren.
Le 1er Avril 1793 elle est cantonnée à Crunes.
Le 29 Avril 1793 son capitaine depuis Janvier 1793 : André Shcoub dit Chappe est tué au combat. Le commandement passe au capitaine Claude Perné.Le 8 Juin 1793, la compagnie est à Hornbach,et reçoit des renforts de la levée des 300.000 hommes de Saône et Loire.
En Juillet 1793, est à la division des Vosges de l' armée de la Moselle,elle défend l' avant poste de Riedelberg. y restera jusqu' en Septembre. Elle compte alors 4 officiers et 137 ss off et chasseurs. Elle se voit renforcée en Aôut par des recrues de l 'Allier et de l 'Indre.
En Septembre 1793, elle combat à Pirmasens.
En Octobre 1793, elle est à Hermeskabel à l'avant garde. Elle participera au déblocus de Landau fin décembre; Le capitaine sera blessé.

le 12 mars 1794 à Biuiding , près de Thionville elle sera versée dans le 2e bataillon de Corps Francs Armée de la Moselle avec les 1ere et 4e compagnies du Louvre , la 2e compagnie des Sans Culottes, la 1ere compagnie de l' Observatoire et les tirailleurs de Nancy

Source: Les volontaires nationaux ( de Paris) durant la Révolution Léon Hennet

Le 2e bat des Corps francs A. de la Moselle est ensuite versé en juin 1795 dans la 19e bis DB legère de 1ere formation.....
d après J Domange le 2e bat des Corps francs adopte un habit bleu de type infanterie de Ligne ( revers au carré ) avec collet, revers , parements et retroussis verts passepoilés de blanc,culotte bleu.

Merci Didier, j'ai majoré nos données, je n'ai pas accès au site en maintenance jusqu'à lundi.

Formée le 27 Août 1792 à Paris capitaine Quesnel, capitaine en second Drouard
A l' Assemblée le2 septembre demande à être équipée
Quitte Paris le 26 septembreet est dirigé vers l Armée du Centre ( future Armée de la Moselle);
A Villiers la Montagne le 26 Octobre 92
Campagne de Treves jusqu en décembre
En Mai 1793 reçoit des renforts de la levée des 300.000 hommes de Saone et Loire et du 3e bat de l' Ain
Juillet 93 au Corps des Vosges, A de la Moselle, combats du 22 Juillet et de Limbach du 13 Août contre Prussiens. La cie a alors 3 off et 170 ss off et chasseurs.
13 tués à Pirmassens le 14 Septembre.
La cie est à la bataille de Kaiserlautern du 28 au 30 Novembre, puis participe au déblocus de Landau

Versée en Janvier 1794 dans le 2e bataillon des Corps francs Armée de la Moselle avec les 1e, 3e et 4e Cies du Louvre,la 2e cie des Sans Culottes et les tirailleurs de Nancy

source idem.....

2e compagnie devolontaires de la Section des Sans Culottes conservée en compagnie franche de chasseurs
Formée en Septembre 1792, part de Paris le 30 septembre pour AMoselle
Campagne deTreves; A Wavren le16 décembre 1792
En mai 93 reçoit renforts de la levée des 300.000 hommes de l' Yonne
Juillet 93 à l' avant garde A de la Moselle,combat de St Imbert le 17 Août 1793 effectifs alors 3 off et 218 hommes.
16 sept tjs à St Imbert 128 présents
Contribue au déblocus de Landau
12 mars 1794 entre dans le 2e bataillon des Corps francs A de la Moselle

2e cie des Sans Culottes = capitaine:Paul Wagner, mort des fatigues de la guerre à Landau en fevrier 1794..c est tout pour aujourd' hui...... :sodlatsss:

Finalement..........

Pétition de la 1ere cie de chasseurs nationaux de l'Observatoire à l'Assemblée le 2 Septembre 1792 ( voit plus haut)

Discours du capitaine Quesnel:
" Législateurs,
si les dangers de la Patrie sont devenus éminents, les bras des Français se sont levés et se lèvent tous les jours pour la défendre.
A l' instar de la section des Quatre Nations, nous avons dans celle de l' Observatoire, et sous son autorisation, fait la levée d' une compagnie franche de chasseurs nationaux. Ce ne sont point des discours, des paroles, que je vous présente, mais des hommes, qui presque tous las d'avoir servi sous les drapeaux du despotisme, se rappellent aujourd hui l'Age d'Or pour le salut de la Nation.
Voler à la frontière, combattre l' ennemi, employer tout notre courage à le vaincre, voila nos seuls désirs.
Je demande donc au nom du salut de la Patrie que vous ordonniez notre prompt équipement...."

Etat des services du capitaine en second Claude François Drouardsergent au régiment de la Martinique 1790, sergent à la 1e CF de l' Observatoire 27 août 1792, capitaine en second 10 décembre 1792, puis capitaine commandant. Passé au 2e bataillon des Corps francs..prisonnier de guerre à Perth le 21 Juin 1794, mourut des suites de sa captivité en 1795

Merci à toi Didier, j'ai majoré nos fiches en attendant une mise à jour sur internet !

Bonjour,

Au cours de mes recherches généalogiques sur les archives (en ligne) de Manziat (district de pont-de-vaux) j'ai trouvé les actes de décès (An III et A IV) de 3 ''volontaires'' de l'armée d'Italie.
Les trois du 1er Bataillon des Grenadiers de Paris (deux de la 5ème Cie et le troisième de la 6ème Cie).
Question d'un néophyte...Comme il y avait à cette époque des compagnies de Grenadiers de l'Ain, leur affectation aux Grenadiers de Paris était-elle un choix ou bien un reversement d'une autre compagnie pour pallier par exemple à un manque d'effectif ?.
Je pensai trouver des infos en lisant le mémoire de Laurent sur '' Les levées d'homme dans le district de pont-de-vaux'' mais connection Impossible avec le lien suivant
http://assosehri.chez.com/labibliothequesc/les-levees-d-hommes-dans-le-district-de-pont-de-vaux-1791-1795-.pdf

Idem pour '' La résistance religieuse dans le district de pont-de-vaux'' qui mentionne le curé Feyeux fils d'un de mes ascendants
Le lien suivant est inopérant
http://assosehri.chez.com/labibliothequesc/r-sistance-religieuse-dans-le-district-de-pont-de-vaux.pdf
Ces problèmes viennent-ils du site ?? de mon fournisseur d’accès Internet (SFR) ????


Cordiales salutations

Bonjour
ça va faire un an que la bibliothèque n'est plus sur cet hébergeur et que cela a été signalé :
https://sehri.forumactif.com/t441-site-sehri-bibliotheque

voici le "nouveau" lien
http://sehriasso.chez.com/topic/index-en.html


:serhiaples: