La Belle Poule.
La Belle Poule.
Mesdames et messieurs bonjour
Je tenais à vous faire part d’une dégustation d’un vin Varois que j’ai découvert à un repas de famille.
J’ai eu l’occasion de décruster ce vin, « la Belle Poule » en rosé qui m’a ravi les papilles.
Pour l’occasion nous avons ouvert une bouteille de rosé de 300 cl et nous avons pu apprécier le breuvage de ce nectar.
Les personnes encore en vacances dans le département Varois et appréciant l’histoire et la dégustation de bon vin devraient aller y faire un tour (domaine du château du Rouët).
Monsieur Bernard Savatier et Fils. Propriétaires – exploitants.
https://www.chateau-du-rouet.com/
Cordialement.
Jacques Colomban
La Belle poule.
TRANSBORDEMENT DES CENDRES DE NAPOLÉON IER À BORD DE LA BELLE POULE, 15 OCTOBRE 1840. Par Eugène Isabey.
Le rapatriement du corps de Napoléon en France était discuté depuis le début de la monarchie de Juillet. Les bonapartistes s’employaient à convaincre un gouvernement inquiet de voir à cette occasion de nouveaux débordements politiques. Pourtant, dès le début de son second ministère en mars 1840, Thiers, aimant à flatter les sentiments bonapartistes du peuple, parvient à convaincre Louis-Philippe de ramener en France les cendres de Napoléon qui reposaient depuis le 5 mai 1821 dans la vallée du Géranium à Sainte-Hélène. Malgré les divergences franco-anglaises sur la question d’Orient, l’Angleterre est alors disposée à faire un geste pour conserver son influence dans cette région : rendre le corps de Napoléon à sa patrie. A la tête de l’expédition de La Belle Poule qui doit ramener la dépouille du grand homme, le prince de Joinville, fils de Louis-Philippe, parvient à Sainte-Hélène en octobre avant de revenir en France le 14 décembre 1840. Après avoir remonté la Seine – Louis-Philippe estimait ainsi éviter les risques d’émeute –, le cercueil de Napoléon débarque à Courbevoie, où d’anciens soldats le veillent une nuit entière. Ce fut le “ dernier bivouac ”, célébré entre autres par Théophile Gautier dans Emaux et Camées (1852). Le lendemain, le char funèbre remonte les Champs-Elysées et parvient aux Invalides où l’attend Louis-Philippe. Tout au long du parcours ce fut un délire d’enthousiasme donnant à penser que la résurrection de l’Empereur venait de se produire.
Je tenais à vous faire part d’une dégustation d’un vin Varois que j’ai découvert à un repas de famille.
J’ai eu l’occasion de décruster ce vin, « la Belle Poule » en rosé qui m’a ravi les papilles.
Pour l’occasion nous avons ouvert une bouteille de rosé de 300 cl et nous avons pu apprécier le breuvage de ce nectar.
Les personnes encore en vacances dans le département Varois et appréciant l’histoire et la dégustation de bon vin devraient aller y faire un tour (domaine du château du Rouët).
Monsieur Bernard Savatier et Fils. Propriétaires – exploitants.
https://www.chateau-du-rouet.com/
Cordialement.
Jacques Colomban
La Belle poule.
TRANSBORDEMENT DES CENDRES DE NAPOLÉON IER À BORD DE LA BELLE POULE, 15 OCTOBRE 1840. Par Eugène Isabey.
Le rapatriement du corps de Napoléon en France était discuté depuis le début de la monarchie de Juillet. Les bonapartistes s’employaient à convaincre un gouvernement inquiet de voir à cette occasion de nouveaux débordements politiques. Pourtant, dès le début de son second ministère en mars 1840, Thiers, aimant à flatter les sentiments bonapartistes du peuple, parvient à convaincre Louis-Philippe de ramener en France les cendres de Napoléon qui reposaient depuis le 5 mai 1821 dans la vallée du Géranium à Sainte-Hélène. Malgré les divergences franco-anglaises sur la question d’Orient, l’Angleterre est alors disposée à faire un geste pour conserver son influence dans cette région : rendre le corps de Napoléon à sa patrie. A la tête de l’expédition de La Belle Poule qui doit ramener la dépouille du grand homme, le prince de Joinville, fils de Louis-Philippe, parvient à Sainte-Hélène en octobre avant de revenir en France le 14 décembre 1840. Après avoir remonté la Seine – Louis-Philippe estimait ainsi éviter les risques d’émeute –, le cercueil de Napoléon débarque à Courbevoie, où d’anciens soldats le veillent une nuit entière. Ce fut le “ dernier bivouac ”, célébré entre autres par Théophile Gautier dans Emaux et Camées (1852). Le lendemain, le char funèbre remonte les Champs-Elysées et parvient aux Invalides où l’attend Louis-Philippe. Tout au long du parcours ce fut un délire d’enthousiasme donnant à penser que la résurrection de l’Empereur venait de se produire.
Jacques Colomban- baccalariandorum
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Date d'inscription : 20/05/2019
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