Oleg Sokolof, historien émérite et meurtrier sordide
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Oleg Sokolof, historien émérite et meurtrier sordide
je l'ai croisé quelques fois
j'ai toujours trouvé ces travaux pertinents et admirables par contre sur un bivouac, j'ai toujours pensé qu'il flétrissait une tenue par des actes et un comportements non seulement pas crédible mais parfois injurieux avec une tendance, à mon avis à ne pas faire la différence entre la vraie vie et son rôle
http://www.leparisien.fr/faits-divers/russie-l-historien-oleg-sokolov-avoue-le-meurtre-de-sa-jeune-compagne-10-11-2019-8190291.php
j'ai toujours trouvé ces travaux pertinents et admirables par contre sur un bivouac, j'ai toujours pensé qu'il flétrissait une tenue par des actes et un comportements non seulement pas crédible mais parfois injurieux avec une tendance, à mon avis à ne pas faire la différence entre la vraie vie et son rôle
http://www.leparisien.fr/faits-divers/russie-l-historien-oleg-sokolov-avoue-le-meurtre-de-sa-jeune-compagne-10-11-2019-8190291.php
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Par définition un historien se doit d'éclairer certaines zones d'ombres du passé. Ayant de droit accès à toutes les archives ouvertes, il s'appuie sur ses recherches pour délivrer ses résultats, quitte à briser quelques clichés.
Président de la S.E.H.R.I.
Re: Oleg Sokolof, historien émérite et meurtrier sordide
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Par définition un historien se doit d'éclairer certaines zones d'ombres du passé. Ayant de droit accès à toutes les archives ouvertes, il s'appuie sur ses recherches pour délivrer ses résultats, quitte à briser quelques clichés.
Président de la S.E.H.R.I.
Re: Oleg Sokolof, historien émérite et meurtrier sordide
d'autres hommes de ce genre, évidemment pas forcément des meurtriers écument les bivouacs en Russie,
Un certain Jakub, un tchèque historien horriblement pointilleux et méprisant terrorise son monde du côté d'Austerlitz et vient parfois de notre côté, il se prend à tenter d'imposer le réglement à la lettre d'opérations tactiques impliquant à l'époque des centaines d'hommes qu'il tente d'imposer absurdement pendant des heures à 20 reconstituants, il vînt en son temps hurler à la Sehri sur notre incapacité et donner des leçons de choses,
rencontré également à Moscou un Russe, affublé en officier de vétéran et voulant imposer à des grenadiers français 2 heures d'exercices en armes, sous le ton de l'humiliation et du mépris, typique parfois de Russes (pourtant plus russophile que moi difficile) se croyant vraiment cohérent dans un rôle d'officier français, en se comportant comme des... Russes et en oubliant qu'ils sont du XXIe siècle et que leurs façons de faire face à des vieux de la vieille de la garde, lui aurait valu au minimum quelques coups de sabres en duel, au pire une bonne déculottée,
Il y a un vrai complexe russe face à l'armée napoléonienne, à la fois une presque hystérie de transformation historique de la victoire sur Napoléon, mais aussi un furieux désir finalement d'être Français pour "en être" ou descendre de ceux qui "en furent",
rencontré aussi d'autres tarés du genre, 5e régiment de cuirassiers, superbement équipé, encore une fois plus royaliste que le Roi, méprisant au possible et répétant à l'envie qu'ils sont les seuls dans le monde... à faire des vrais et bons gros frères ! ridicule !
Sokolov finalement, que j'ai rencontré plusieurs fois dans les archives ou conférences, n'aura été que l'exemple de beaucoup d'entre eux, ce qui est par contre inquiétant, c'est que son élimination du tableau des historiens russes, va désormais laisser le chemin à une réécriture forcenée de cette histoire des campagnes napoléoniennes côté des Russes, il serait long d'en expliquer la teneur mais en gros, cela dit qu'une armée française de tocards commandés par un tocard fut fessée dès l'apparition de l'armée russe qui vint sauver la France elle-même de ses turpitudes en lui donnant des leçons de virilité et de stratégies, en la personne des vrais stratèges que furent par exemple l'omniscient Koutouzov, meilleur assurément que Wellington et Napoléon réunit qu'il aurait corrigé d'une main, l'autre attachée dans le dos, et encore en laissant trois coups d'avance à l'ennemi...
Un certain Jakub, un tchèque historien horriblement pointilleux et méprisant terrorise son monde du côté d'Austerlitz et vient parfois de notre côté, il se prend à tenter d'imposer le réglement à la lettre d'opérations tactiques impliquant à l'époque des centaines d'hommes qu'il tente d'imposer absurdement pendant des heures à 20 reconstituants, il vînt en son temps hurler à la Sehri sur notre incapacité et donner des leçons de choses,
rencontré également à Moscou un Russe, affublé en officier de vétéran et voulant imposer à des grenadiers français 2 heures d'exercices en armes, sous le ton de l'humiliation et du mépris, typique parfois de Russes (pourtant plus russophile que moi difficile) se croyant vraiment cohérent dans un rôle d'officier français, en se comportant comme des... Russes et en oubliant qu'ils sont du XXIe siècle et que leurs façons de faire face à des vieux de la vieille de la garde, lui aurait valu au minimum quelques coups de sabres en duel, au pire une bonne déculottée,
Il y a un vrai complexe russe face à l'armée napoléonienne, à la fois une presque hystérie de transformation historique de la victoire sur Napoléon, mais aussi un furieux désir finalement d'être Français pour "en être" ou descendre de ceux qui "en furent",
rencontré aussi d'autres tarés du genre, 5e régiment de cuirassiers, superbement équipé, encore une fois plus royaliste que le Roi, méprisant au possible et répétant à l'envie qu'ils sont les seuls dans le monde... à faire des vrais et bons gros frères ! ridicule !
Sokolov finalement, que j'ai rencontré plusieurs fois dans les archives ou conférences, n'aura été que l'exemple de beaucoup d'entre eux, ce qui est par contre inquiétant, c'est que son élimination du tableau des historiens russes, va désormais laisser le chemin à une réécriture forcenée de cette histoire des campagnes napoléoniennes côté des Russes, il serait long d'en expliquer la teneur mais en gros, cela dit qu'une armée française de tocards commandés par un tocard fut fessée dès l'apparition de l'armée russe qui vint sauver la France elle-même de ses turpitudes en lui donnant des leçons de virilité et de stratégies, en la personne des vrais stratèges que furent par exemple l'omniscient Koutouzov, meilleur assurément que Wellington et Napoléon réunit qu'il aurait corrigé d'une main, l'autre attachée dans le dos, et encore en laissant trois coups d'avance à l'ennemi...
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secrétaire - adjoint de la S.E.H.R.I.
Laurent- inceptio
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Date d'inscription : 06/07/2010
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Localisation : Moscou
Re: Oleg Sokolof, historien émérite et meurtrier sordide
je connais le premier personnage et l'ai bani du forum (il venait faire ici ses courses documentaires - il en a d'ailleurs aussi beaucoup après tes travaux sur les volontaires, car il sait mieux - sans vraiment bien parler ni comprendre le français, ce qui est compliqué pour lire et comprendre des textes du XVIIIe déjà parfois obscur pour nous) : c'est un triste personnage qui pense qu'il vit en 1810, officier bien sur, ne voyant dans la reconstitution que des termes techniques de déplacements ; il s'est arrogé le droit de dire qui peut venir à Austerlitz ou pas.
bref, des gens sans intérêt qui vivent une vie par le biais d'une vie qui n'en n'est pas une vraie, la reconstitution (pas historique pour le coup, car en 1810, un tchèque comme lui aurait été garde frontière dans un bataillon de son pays au service de l'autriche sur la frontière turc et serait mort de maladie en quelques semaines) et font chier les autres en se pensant les paragons d'un truc qui n'a jamais existé.
bref, des gens sans intérêt qui vivent une vie par le biais d'une vie qui n'en n'est pas une vraie, la reconstitution (pas historique pour le coup, car en 1810, un tchèque comme lui aurait été garde frontière dans un bataillon de son pays au service de l'autriche sur la frontière turc et serait mort de maladie en quelques semaines) et font chier les autres en se pensant les paragons d'un truc qui n'a jamais existé.
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Par définition un historien se doit d'éclairer certaines zones d'ombres du passé. Ayant de droit accès à toutes les archives ouvertes, il s'appuie sur ses recherches pour délivrer ses résultats, quitte à briser quelques clichés.
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