quis sum ?
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quis sum ?
Bonjour à tous,
Collectionneur d'uniformes militaires depuis 1976, je me nomme Jean-Marc Rouzet, j'ai aujourd'hui 65 ans, marié depuis 42 ans, père de quatre enfants, huit fois grand-père, ancien agent général d'assurances, et je vis alternativement à Bruges près de Bordeaux et à Saint-Georges-de-Didonne près de Royan.
Après avoir entassé pendant plus de trente ans, tout ce que je pouvais m'offrir avec peu de moyens sur la coloniale et sur l'armée d'Afrique de 1860 à 1960, j'ai fini par faire un grand ménage dans cette accumulation hétéroclite et au final sans grand intérêt.
Depuis les années 2010, je me consacre exclusivement aux tenues orientales de l'armée française, en veste-boléro, gilet arabe, ceinture-écharpe et sarouel, dans un premier temps du second Empire à la fin de la troisième République, période que j'ai ensuite plus modestement limitée à la Belle Époque.
Avec comme objectif à terme celui d'aligner une série cohérente de mannequins complets, représentatifs des grandes et moins grandes unités de l'armée d'Afrique, objectif que je poursuis toujours aujourd'hui.
J'ai entamé au début de cette année un projet d'ouvrage photographique et descriptif, qui a pour vocation de présenter un panorama des tenues orientales de l'armée d'Afrique et des troupes coloniales ayant été portées entre 1872 et 1914.
Seront représentées ainsi une douzaine d'unités, pour certaines d'entre elles, particulièrement rares, par un seul ensemble, pour les plus courantes par plusieurs uniformes dans leurs différences de grades, d'usage, de fonctions, de spécialités, de fabrications....
Cette présentation sera :
- suivie d'un chapitre traitant de la survivance partielle des tenues à la turque entre 1915 et 1927 et des "nouvelles" tenues de 1928.
- précédée d'un préambule décrivant quelques tenues emblématiques de la Monarchie de juillet et du second Empire, et dans lequel je compte inclure les tout premiers uniformes à la turque portés par des unités régulières de l'armée française, à savoir ceux des mamelouks et tartares lituaniens.
Dans ce but, je suis à la recherche de tout document photographique présentant les effets de ces deux unités, ou tout contact ou adresse qui me permettrait d'aller photographier de tels effets, si tant est qu'en dehors du mamelouk de l'Empéri, il en subsiste encore dans quelques musées ou collections en France ou ailleurs (on peut rêver !).
De même, je recherche toute photographie exploitable du mamelouk du musée, avant que son shâl plissé ne soit détérioré et prise à l'époque où ce mannequin avait son allure altière d'antan.
Si d'aventure vous possédez des informations ou documents concernant mes recherches, n'hésitez pas à me contacter.
Bien cordialement.
Jean-Marc
Collectionneur d'uniformes militaires depuis 1976, je me nomme Jean-Marc Rouzet, j'ai aujourd'hui 65 ans, marié depuis 42 ans, père de quatre enfants, huit fois grand-père, ancien agent général d'assurances, et je vis alternativement à Bruges près de Bordeaux et à Saint-Georges-de-Didonne près de Royan.
Après avoir entassé pendant plus de trente ans, tout ce que je pouvais m'offrir avec peu de moyens sur la coloniale et sur l'armée d'Afrique de 1860 à 1960, j'ai fini par faire un grand ménage dans cette accumulation hétéroclite et au final sans grand intérêt.
Depuis les années 2010, je me consacre exclusivement aux tenues orientales de l'armée française, en veste-boléro, gilet arabe, ceinture-écharpe et sarouel, dans un premier temps du second Empire à la fin de la troisième République, période que j'ai ensuite plus modestement limitée à la Belle Époque.
Avec comme objectif à terme celui d'aligner une série cohérente de mannequins complets, représentatifs des grandes et moins grandes unités de l'armée d'Afrique, objectif que je poursuis toujours aujourd'hui.
J'ai entamé au début de cette année un projet d'ouvrage photographique et descriptif, qui a pour vocation de présenter un panorama des tenues orientales de l'armée d'Afrique et des troupes coloniales ayant été portées entre 1872 et 1914.
Seront représentées ainsi une douzaine d'unités, pour certaines d'entre elles, particulièrement rares, par un seul ensemble, pour les plus courantes par plusieurs uniformes dans leurs différences de grades, d'usage, de fonctions, de spécialités, de fabrications....
Cette présentation sera :
- suivie d'un chapitre traitant de la survivance partielle des tenues à la turque entre 1915 et 1927 et des "nouvelles" tenues de 1928.
- précédée d'un préambule décrivant quelques tenues emblématiques de la Monarchie de juillet et du second Empire, et dans lequel je compte inclure les tout premiers uniformes à la turque portés par des unités régulières de l'armée française, à savoir ceux des mamelouks et tartares lituaniens.
Dans ce but, je suis à la recherche de tout document photographique présentant les effets de ces deux unités, ou tout contact ou adresse qui me permettrait d'aller photographier de tels effets, si tant est qu'en dehors du mamelouk de l'Empéri, il en subsiste encore dans quelques musées ou collections en France ou ailleurs (on peut rêver !).
De même, je recherche toute photographie exploitable du mamelouk du musée, avant que son shâl plissé ne soit détérioré et prise à l'époque où ce mannequin avait son allure altière d'antan.
Si d'aventure vous possédez des informations ou documents concernant mes recherches, n'hésitez pas à me contacter.
Bien cordialement.
Jean-Marc
burnous- noviter veniens
- Messages : 3
Date d'inscription : 15/08/2023
Age : 66
Localisation : Bruges
Re: quis sum ?
bonjour et bienvenu
autant pour les mameloucks, il y a quelques rares éléments autant pour les tartares c'est plus compliqué en effet
autant pour les mameloucks, il y a quelques rares éléments autant pour les tartares c'est plus compliqué en effet
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Par définition un historien se doit d'éclairer certaines zones d'ombres du passé. Ayant de droit accès à toutes les archives ouvertes, il s'appuie sur ses recherches pour délivrer ses résultats, quitte à briser quelques clichés.
Président de la S.E.H.R.I.
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