Le 11ème Voltigeur de la Garde Impériale. Le Chevalier d’Empire Jacques Colomban.

**Jacques Colomban** Mar 12 Déc - 7:03

Le Chevalier d'Empire Jacques Colomban.

Il vit le jour dans l’une des maisons en contre-bas de la forteresse de Briançon le 13 janvier 1772 au village du Grand-Villard-Saint-Pancrace, son père se prénommé Jacques, sa mère Madeleine Travail, Son parrain Jean Ange Roul, et sa marraine Henriette fine.

À l'âge de l’adolescent il aide ses parents aux travaux des champs, le printemps venu il garde les moutons dans les montagnes environnantes du Briançonnais de la vallée de la Durance où celle du Mont-Genièvre, ils passent son temps libre à observer les soldats montant rejoindre la citadelle de Briançon.

Voyant la patrie en danger il fut réquisitionné par la junte départementale du canton Briançonnais le 6 fructidor de l’An I (23 août 1793), comme fusilier dans le 1er bataillon de volontaires de son département. Amalgamé dans la 3ème demi-brigade, devenu 11ème légère en l’An II-III (1793-1794), Il passe caporal le 4 germinal de l’An III (24 mars 1795), rentre par ordre aux guides à pied de l’armée des Alpes le 8 nivôse de l’An V (28 décembre 1796), sous les commandements des généraux de division Schérer & Bonaparte, brigadier-fourrier le 27 germinal de l’An VII, Colomban fit parti des guides de l’armée d’Orient il suivit le général Bonaparte en Égypte et en Syrie, il débarqua le 2 juillet 1798 à Alexandrie, il prit part au combat de la prise d'Alexandrie, Chebreiss, Pyramides, 1re Aboukir, Sédiman, Caire , Samanouth, El Arish, Syène, Jaffa, Saint-Jean-d'Acre, Mont-Thabor, 2e Aboukir, Damiette, Héliopolis, 3e Aboukir, Mandora , Canope , et le Siège d’Alexandrie. Le 6 fructidor an VII il s'embarque sur la frégate Muiron avec le général Bonaparte pour rejoindre la France, Il arrive à Saint Raphaël le 16 vendémiaire an VIII, il prend le chemin de la capitale ou le général Bonaparte doit renté à Paris le plus rapidement possible, le 17 vendémiaire an VIII, Bonaparte à Paris

Admis dans la garde des consuls entant que caporal-fourrier le 13 nivôse an VIII, (3 janvier 1800). Le 6 mai (16 floréal An IX) Bonaparte quitte Paris pour l'armée de réserve à Dijon, c'est le début de la seconde Campagne d'Italie. Colomban franchissant les Alpes par le col du Saint-Bernard, il fond sur le nord de l'Italie et entre à Milan moins de quinze jours plus tard, le 2 juin. Le 14 juin c’est la victoire de Marengo, les chasseurs se sont bien battus magret un moment de flottement dans leurs lignes, cette bataille met fin à la campagne. Bientôt les Français sont à Turin et à Gênes.

Colomban rentrera sur Paris rejoindre le cartier des chasseurs à pied de la Garde des Consuls, sergent-major le 21 vendémiaire de l’An IX, (13 octobre 1800), sous-lieutenant le 10 ventôse de l’An X (17 octobre 1802), lieutenant en second le 26 messidor de l’An X (15 juillet 1803).

Au début de 1804, la ville de Boulogne-sur-Mer n'est plus qu'un énorme chantier. La flottille comprend 2.400 bâtiments et l'armée représentent un contingent de 200.000 hommes. C'est dans cette capitale militaire que se déroulera une des manifestations les plus spectaculaires de l'Empire : la remise de la Légion d'Honneur à l'armée, Colomban avait été nommait le 25 prairial an XII (14 juin 1804), membre de la légion.

Le 28 floréal an XII verra la création de la garde Impériale, Jacques Colomban au 2ème bataillon de la 7ème compagnie, il est commandé par le capitaine Davignon, le lieutenant Martenot, il est alors sous-lieutenant en second Colomban, avec le sous-lieutenant en second Lacaze.

Une cérémonie fut organisée aux Invalides le 25 messidor an XII (14 juillet 1804) pour la première remise de la nouvelle décoration de l'Ordre de la Légion d'Honneur Jacques Colomban promu par décret du 26 prairial an XII (15 juin 1804) sous le N° 3232, y fut décoré ce jour des mains de l'Empereur, qui lui remit l'Aigle d'argent . Il rejoint les cantonnements de Boulogne-sur-Mer où stationnent toutes les unités de la Garde Impériale. C'est dans cette ville, capitale militaire abritant 2400 bâtiments et un contingent de 200 000 hommes, qu'eut lieu la deuxième remise de la nouvelle décoration de l'Ordre de la Légion d'Honneur. Le 28 thermidor an XII (16 août 1804), Colomban participe, avec son régiment, aux honneurs rendus aux autres récipiendaires des étoiles de la Légion d’honneur, des jeux, des tournois de tir sont organisés et des feux d’artifice seront tirés.

Le 23 août 1805, Napoléon prend la décision de lever le camp de Boulogne et de porter les 7 corps de la Grande Armée en Allemagne Colomban avec la garde Impériale font partie des sept torrents qui déferles sur l'Autriche, en moins de quatre semaines Colomban aura parcouru avec la Grande Armée 600 Km. Il participe aux victoires d'Ulm, et d'Austerltz pour la campagne de 1805, les l'armées Françaises sont prêtent à déferler sur les Autrichiens soutenus par les armées Russes. La rencontre eu lieu le14 frimaire an XIV (2 décembre 1805), elle se conclura par la victoire d'Austerlitz. Colomban y assista l'arme au pied, les Chasseurs de la Garde Impériale y étant juste en réserve. Son régiment rentra à Paris où des grandes fêtes avec bals, feux d'artifice furent organisés en l'honneur des vainqueurs. Colomban fait partie du 1er régiment des Chasseurs à pied de la Garde Impériale, sous le commandement du général de brigade Soulès C*, le chef du 1er bataillon, le chef de bataillon Barbanègre O*, le capitaine Dupin*, lieutenant en premier Galté*, lieutenant en second Colomban* et Soules*. À la suite de la bataille décisive de Friedland (14 juin), concluant cette campagne, il se retrouve sur le bord du Niémen, pour la conférence de Tilsit avec Alexandre 1er, Tsar de toutes les Russies.

En cette année 1806, des bruits de guerre avec la Prusse se font entendre. La Garde participera à cette campagne à la bataille d’Iéna, la plupart de temps, l'arme au bras. La Garde entre en Pologne et prend ses campements à Varsovie et participa à la seule bataille d'Eylau le 8 février 1807 contre l'armée Russe dans le secteur de l'église où elle menaçait l'Empereur présent. Colomban fait partie du régiment des fusiliers chasseurs, colonel Boyer O*, 1erbataillon, chef de bataillon Bellaton O*, 4ème compagnies, capitaine Larousse *, lieutenant en premier Colomban*, lieutenant en second Ozère*, Pichard*. A la suite de la bataille décisive de Friedland (14 juin), concluant cette campagne, il se retrouve sur le bord du Niémen, pour la conférence de Tilsit avec Alexandre 1er, Tsar de toutes les Russies.

C'est dans les cabarets de Courbevoie, au retour de ces campagnes, dans des soirées animées, où officiers, et sous-officiers restent toujours d'une correction irréprochable à l'égard des jeunes filles de bonne famille de cette ville, que se retrouvent les soldats du Briançonnais, tous chasseurs à pied de la Garde Impériale. Autour de Claude Finat du Lauzet, Jean-Louis Barral de Briançon, Gabriel Ollagnier de Briançon, Jean-Louis Rignon des Alberts, Jean-Claude Montenoise de Briançon, Jean-Baptiste Fine de Grand-Villard, Joseph Allègre de Briançon, Antoine Masset de Briançon, Joseph Finat du Casset, Louis Challier de Briançon, Antoine Barge de Briançon, Joseph Faure de Briançon, Jacques Challier de Briançon. Plusieurs ne rentreront jamais dans leur foyers, sinon pour beaucoup avec des séquelles.

En 1808, le 1er janvier 1808 il reçut une dotation sur le mont Napoléon de 500 Francs.
Le 1er régiment des Chasseurs à pied de la Garde, où sert Colomban, part pour l'Espagne, le temps que Napoléon reprenne en main les affaires de son frère Joseph qu'il avait nommé roi d'Espagne. Arrivé en novembre, il y suivra l'empereur jusqu'en janvier 1809, passant par Victoria, Burgos, Somosierra, Madrid où Napoléon rétablira son frère sur le trône d'Espagne, Colomban sera blessé d’un coup de feu à la jambe gauche le 28 septembre 1808 au combat de Sepùldeva (Espagne), puis de nouveau en France où des rumeurs de guerre venant de Vienne ce confirme.

Le 5 avril 1809 Colomban fut nommé capitaine au 1er régiment de Conscrits Chasseurs de la Jeune Garde, 1er bataillon, 1er compagnie sous les ordres du colonel baron Duvernet O*, chef de bataillon Kessel*, capitaine Colomban*, lieutenant en premier Savy, sous-lieutenant Delaplanche.

Avril 1809, l'Autriche envahit la Bavière et le Grand-duché de Varsovie, alliés de Napoléon. L'Empereur qui avait déjà concentré ses troupes aux frontières de la Confédération du Rhin, pu réagir immédiatement : ce sont les batailles victorieuses d'Abensberg (20 avril), Landshut (21 avril), Eckmühl (22 avril), et Ratisbonne (23 avril), mais aussi la défaite d'Essling (22 mai). Puis la victoire décisive de Wagram (5 et 6 mai), qui mettra fin à cette campagne, et le retour de la Garde en France.

L’année 1810-1811, sous le commandement du général Dorsenne GO* il reprend le chemin de l'Espagne 10 février voit la création du 4ème régiment de Voltigeur de la Garde, major commandant le baron Nagle*, 1er bataillon chef de bataillon Chr Galté*, 1er compagnie Chr Colomban*, lieutenant en premier Duchesme, sous-lieutenant Gauffret, Audé, avec lequel il participe à des missions de marche et contremarche pour assurer le maintien de l'ordre dans la péninsule, le 22 mai il fut atteint d’un coup de feu à la même jambe au combat de San-Pédro, où il restera jusqu’en 1813.

Jacques Colomban sera nommé Chevalier d’Empire, un titre nobiliaire lui sera remis. Expédier en Espagne dans un tube en fer, porté par les courriers de l’armée, la lettre patente portera ses armoiries accompagnées du frappé du sceau Impérial des titres, signé de Napoléon 1er et de l’archichancelier Cambacérès il porte la date du 20 mars 1812.

L’année 1812, les bruits d’une Campagne contre la Russie se font entendre, les préparatifs de certains régiments de la garde se mettent en état pour cette prochaine campagne, Colomban fera la campagne entant que capitaine au 4ème régiment de Voltigeurs de la garde, certains de ses amis du pays seront nommés comme officiers surnuméraires aux siens de la garde pour cette campagne, afin de remplacer les officiers qui mourons lors de ce conflit meurtrier.
Nous le retrouverons tous aux longs de cette guerre de Paris à Moscou, la garde ne participe pas aux batailles jusqu’à Moscou, sur le chemin du retour la garde participera aux batailles de Krasnoé, de la bataille Bérézina, de la bataille d'Osmiana, bataille de Wilna, le chemin de la retraite fut terrible pour la garde mais l’ordre et la discipline furent maintenus tout au long de cette campagne, la garde paya un lourd tribut bien des camarades de Colomban resta sur le chemin, mort et ensevelit sous des mètres de neige.

Les effectifs du 4ème régiment de Voltigeurs de la Garde à l'entrée en campagne en 1812, 1er division général Delaborbe GO* GCr* : 794 hommes.

Présent à Moscou 32 officiers. 427 sous-officiers et soldats, perte pendant la retraite 6 officiers. 398 sous-officiers, et soldats présent le 19 décembre 1812 fin de la campagne 10 officiers. 29 sous-officiers et soldats.

Après cette terrible campagne ses supérieurs lui feront obtenir les décorations tant méritées pour sa bonne conduite tout au long de sa carrière militaire. Colomban recevra l’étoile d’officier de la Légion d’honneur le 14 septembre 1813, et recevra la décoration de l’Ordre Impérial de la Réunion le 28 novembre 1813.
Il fit la Campagne d'Allemagne aux siens du 11ème régiment de Voltigeurs de la Garde au il fut nommait chef de bataillon le 8 avril 1813. Il participe aux batailles de Lützen et de Bautzen, combat de Reichenbach, l’armistice de Pleiswitz. L’Autriche propose une médiation qui est acceptée par les belligérants à Pleiswitz mais n’aboutit pas. Metternich négocie avec Napoléon d’une part, puis avec les Russes et les Prussiens, et signe le traité de Reichenbach le 27 juin avec les coalisés, victoire de Napoléon à Dresde, bataille de Leipzig, bataille de Hanau.

L’année 1814, la campagne de France avec les batailles et combats de Meaux 27 février, Laon 9 et 10 mars, ce jour-là son autre ami Claude Finat sera tué dans cette bataille au village de Semilly, puis Arcis-sur-Aube 20 et 21 mars, défense de Soisson 28 mars, Paris 30 et 31 mars, et reviendra pour la défense de Soisson 6 avril 1814. Le 30 mars il l’arrive avec quelques autres unités de la Garde Impérial à Fontainebleau, le 2 avril, et assistera aux adieux de l’Empereur, le 20 avril 1814.
Admis le 1er juillet 1814 dans le corps des Chasseurs Royaux à pied de France, il recevra la décoration de Chevalier de l’Ordre de Saint Louis le 12 août 1814, pour plus de 20 ans de service dans l’armée. Le site sur l’Ordre militaire de Saint Louis nous signale la date du 15 octobre 1817 ? https://www.saint-louis.info/
Après avoir été déporté sur l’île d’Elbe en 1814, Napoléon débarque à Golfe-Juan le 1er mars 1815, avec une petite troupe de fidèle vétéran de sa garde, le 20 mars ils arrivent à Paris après de multiples péripéties, mais sans avoir jamais tiré un seul coup de fusil. « L’Aigle volera de cochet en cochet jusqu’au tour de Notre Dame ».
L’Empereur reprend les rênes du pouvoir dès 21 mars 1815, il reconstitue l’armée, et sa garde, qui met sur le pied de guerre après l’annonce des puissances étrangères, déclarant la guerre non à la France mais à Napoléon.
Le 8 avril 1815, la Garde Impériale reprend son titre pour la dernière fois, Jacques Colomban, est affecté ce jour-là au 2ème régiment des Chasseurs à pied de la Garde Impérial en qualité de chef de bataille (Major dans la ligne- lieutenant-colonel), sous le commandement de Jean-Jacques-Germain Pelet-Clozeau GC* à l’Armée du Nord.
A Ligny, ce régiment fut envoyé sur le champ de bataille avec la Jeune Garde afin de soutenir le corps de Vandamme GA* qui livrait un combat acharné pour les villages de Saint-Amand et du Hameau.

A Waterloo, il attendit plus de six heures avant que, vers 19.00 heures, le régiment fût scindé. L’un de ses bataillons le 1erfut envoyé à Plancenoit tandis que l’autre, après quelques instants encore, était formé en carré pour supporter en deuxième ligne l’attaque de la Moyenne Garde sur la ligne des Anglos-alliée.
Le 1er bataillon, avec ses 581 Chasseurs commandés par le major Colomban O* Chr*, ce bataillon était plus fort que la moyenne des bataillons de la Garde à Waterloo. Après les combats déjà très éprouvants de Ligny deux jours plus tôt, le 1er bataillon livra le 18 juin, des corps à corps acharnés à Plancenoit. Certains de ses hommes, emportés par une rage aveugle, allèrent jusqu’à égorger des prisonniers prussiens. C’est le commandant du régiment, le général Pelet-Clozeau, qui dut mettre lui-même un terme au massacre. Cet épisode est généralement méconnu par les auteurs (1) pour qui les Prussiens furent les seuls sur le champ de bataille à se comporter comme des sauvages. Mais l’événement est très significatif de l’extrême violence qui caractérisa les combats de Plancenoit.

Le 2ème Bataillon, fort d’environ 580 hommes, ce bataillon était commandé par le major Mompez. Il resta inoccupé, fumant, devisant ou sommeillant, durant toute la journée. Ce n’est que vers 19 heures qu’il fut envoyé en appui de l’attaque de la Moyenne Garde. Il ne prit pas directement part à cet assaut mais fut impliqué dans la confusion qui suivit l’échec de cet assaut. Un moment appuyé par de la cavalerie, il retraita en bon ordre vers la Belle-Alliance où il put recueillir le lieutenant Martin et l’Aigle des Chasseurs de la Garde.
Effectif au 18 juin : 1 163 hommes, pour les deux bataillons.
Présents le 26 juin : 375 hommes, idem.
Après la défaite, il rejoindra les deux corps du maréchal Grouchy, qui retraitait vers Laon avec un nombre considérable d’isolés venant de Waterloo, concourant à doubler effectif d’origine.

Après l’abdication de Napoléon, l’armée française, mise sous les ordres maréchal Davout, se retira derrière la Loire.
Licencié à Périgueux avec l’armée de la Loire, il fût m’y en demi-solde le temps d’étudier son dossier d’officier, malheureusement il fut m’y à la retraite le 8 décembre 1815, en tant que lieutenant-colonel, il se retire à Briançon fréquentant les cabarets de la ville de garnison, ayant déjà rencontré le colonel Chapuzet O* Louis (2) natifs de Briançon lui jouissant du traitement de non activité qui se monté à 2400 francs. Madame Marie Chapuzet née Charbonnelsalle ayant une cousine éloignée en la personne de madame Marie Turin veuve du docteur Jean Turin médecin de l’hôpital militaire de Briançon. Celle-ci ayant une jeune fille en âge d’être marié, mademoiselle Marie Louise Elisabeth Alexandrine Turin, fait la connaissance du lieutenant-colonel Jacques Colomban qui lui fit la cour, le mariage sera célébré en mairie d’Embrun le 8 janvier 1817, il y eu un nombre considérable d’invités, il fut organisé un banquet en cette occasion. Ils eurent 7 enfants marie Madeleine Augusta née le 27 octobre 1817, décédé le 6 mai 1825, Jacques Alexandre né le 15 octobre 1820, Célestine Cécile née le 27 mai 1822, décédé le 7 août 1822, Alfred né le 21 août 1823, Adolphe Auguste né le 9 novembre 1824, Anaïs Aimé né le 17 avril 1826, décédé le 16 août 1827, Alphonse Prosper né le 1er juillet 1827, Jacques Colomban était premier adjoint de cette ville en 1822, il décédera dans cette ville d’Embrun le 25 décembre 1829 à 6 heures du soir.

Ici s’achève la carrière d’un grand soldat de l’Empire le Chevalier d’Empire Jacques Colomban.

1/Combattre sous l’Empire : de la peur du conscrit à la médaille du héros, François Houdecek. Dans Napoleonica. La Revue 2016/3 (N° 27), pages 84 à 99.
2/ Chapuzet Louis auguste Joseph, né le 9 février 1774à Briançon, décédé le 9 décembre 1841 à Grenoble. Marié à Catherine Caroline Charbonnel Salle.

Je remercie vivement HISTORIQUE RÉGIMENT & rigodon d'honneur pour leurs aides qu’ils m’ont apporté dans le résumé pittoresque sur le Chevalier Jacques Colomban.

Brun Louis

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**Jacques Colomban** Mer 13 Déc - 15:53

Je remercie vivement HISTORIQUE RÉGIMENT & rigodon d'honneur pour leurs aides qu’ils m’ont apporté dans le résumé pittoresque sur le Chevalier Jacques Colomban.