les sources en histoire
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les sources en histoire
En histoire, d’un point de vue universitaire et scientifique, les sources se découpent entre :
- sources manuscrites
- sources imprimées.
A l’intérieur d’icelles, y a des sources de premières et seconde mains (voir de troisième main), les secondes reprenant les premières.
Le terme de "sources primaires" en histoire est un concept anglo-saxons. En France, on fait plus la différence entre sources manuscrites et imprimées, car on ne peut que difficilement baser le sérieux des sources sur leur dates de création. En effet, des sources de première mains peuvent être mauvaises, pour rendre compte de l'Histoire, alors que des sources de seconde mains, comme les planches Rousselot en uniformologie militaire, sont excellentes parce qu'elles sont le fruit d'un travail de recherche et de réflexion.
Ensuite il y a les interprétations des documents d'archives, qui donnent lieu à conversations amicales et enrichissantes.
Les sources, manuscrites ou imprimées, servent à être interprêtées, à être passée au crible de sa problématique (objet incontournable du travail de recherche) ou de son questionnement. C'est sur leur étude, leur compréhension et leur décryptage que repose le travail de l'Historien.
On commence toujours par présenter les sources manuscrites puis les sources imprimées. Les sources manuscrites étant les archives écrites et les sources imprimées, les documents imprimés contemporains aux événements qui y sont décrits.
On présente toujours les sources par origines des fonds, en partant des dépôts les plus importants, Archives Nationales – Services historiques de la défense, pour aller aux petite collections privées, en passant par les dépôts d’archives départementaux et communaux.
Afin d'étayer son travail, on peut citer des sources.
Si un travail consiste à étaler des sources in extenso, ce n'est pas un travail historique mais une ressention d'archives et de documents. Ca n'a donc plus la même valeur scientifique et entre dans la rubrique des sources.
Les sources citées le sont après "avoir ouvert les guillemets, les avoir fermés et mis en italiques (pour les sources manuscrites)", puis arrive la note de bas de page qui précise l'objet, l'auteur/producteur de la source, le lieu, la date et la cote.
- sources manuscrites
- sources imprimées.
A l’intérieur d’icelles, y a des sources de premières et seconde mains (voir de troisième main), les secondes reprenant les premières.
Le terme de "sources primaires" en histoire est un concept anglo-saxons. En France, on fait plus la différence entre sources manuscrites et imprimées, car on ne peut que difficilement baser le sérieux des sources sur leur dates de création. En effet, des sources de première mains peuvent être mauvaises, pour rendre compte de l'Histoire, alors que des sources de seconde mains, comme les planches Rousselot en uniformologie militaire, sont excellentes parce qu'elles sont le fruit d'un travail de recherche et de réflexion.
Ensuite il y a les interprétations des documents d'archives, qui donnent lieu à conversations amicales et enrichissantes.
Les sources, manuscrites ou imprimées, servent à être interprêtées, à être passée au crible de sa problématique (objet incontournable du travail de recherche) ou de son questionnement. C'est sur leur étude, leur compréhension et leur décryptage que repose le travail de l'Historien.
On commence toujours par présenter les sources manuscrites puis les sources imprimées. Les sources manuscrites étant les archives écrites et les sources imprimées, les documents imprimés contemporains aux événements qui y sont décrits.
On présente toujours les sources par origines des fonds, en partant des dépôts les plus importants, Archives Nationales – Services historiques de la défense, pour aller aux petite collections privées, en passant par les dépôts d’archives départementaux et communaux.
Afin d'étayer son travail, on peut citer des sources.
Si un travail consiste à étaler des sources in extenso, ce n'est pas un travail historique mais une ressention d'archives et de documents. Ca n'a donc plus la même valeur scientifique et entre dans la rubrique des sources.
Les sources citées le sont après "avoir ouvert les guillemets, les avoir fermés et mis en italiques (pour les sources manuscrites)", puis arrive la note de bas de page qui précise l'objet, l'auteur/producteur de la source, le lieu, la date et la cote.
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Par définition un historien se doit d'éclairer certaines zones d'ombres du passé. Ayant de droit accès à toutes les archives ouvertes, il s'appuie sur ses recherches pour délivrer ses résultats, quitte à briser quelques clichés.
Président de la S.E.H.R.I.
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