un chirurgien aide-major du 67e de ligne
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un chirurgien aide-major du 67e de ligne
Jean Baptiste Trésal est né à Hauteville-Gondon en 1790
Il sert comme chirurgien aide-major au 67e régiment d'infanterie de ligne et sert particulièrement en Espagne. Après Waterloo, il s’installe à Bourg-Saint-Maurice comme médecin. Il se retrouve syndic de Bourg-Saint-Maurice de 1829 à 1849. Il est chargé des soins gratuits aux indigents, sans oublier qu’il fut médecin-vaccinateur et membre de la commission d’étude sur le crétinisme. C’est au cours de ses cheminements à travers la campagne pour visiter ses malades que son inspiration se fait plus facile ; il explique pourquoi il écrit : « les instances de mes amis, les encouragements de quelques littérateurs distingués m’ont décidé à publier ce délassement poétique ; car les Muses charment quelquefois la solitude de mes courses médicales au milieu de nos vallées silencieuses ». Il a composé 3 œuvres remarquables : Le diguement de l’Isère, l’Amédéide et les Géorgiques et les Eglogues de Virgile, traduites en vers français. L’homme de l’épopée impériale avait conservé la raideur du soldat selon le dr Ducret: « sa nature didactique se traduisait dans les traits droits etréguliers de sa figure martiale, dans ses favoris rectilignes, comme tirés au cordeau, dans ses mœurs et ses coutumes ponctuelles, dans sa parole sèche et brusque, dans sa pipe fumée avec méthode ».
Trésal compose « Le diguement de l’Isère », poème couronné par la Société royale académique de Savoie, publié en 1834, à Chambéry, quand l’auteur est docteur-médecin, de Bourg-St-Maurice. En 1834, J.B Trésal obtient le 1er prix au concours de poésie organisé par l’Académie de Savoie ; le thème était : le Diguement de l’Isère. En 1836, J.B. Trésal et A. Ougier obtiennent le prix pour l’Amour de la Savoie. En 1838, le thème était Amédée VI : Jacquemoud a obtenu le 1 prix pour le
Comte Vert et J.B. Trésal le 2e prix.
Il décède à Bourg-Saint-Maurice en 1873.
Il sert comme chirurgien aide-major au 67e régiment d'infanterie de ligne et sert particulièrement en Espagne. Après Waterloo, il s’installe à Bourg-Saint-Maurice comme médecin. Il se retrouve syndic de Bourg-Saint-Maurice de 1829 à 1849. Il est chargé des soins gratuits aux indigents, sans oublier qu’il fut médecin-vaccinateur et membre de la commission d’étude sur le crétinisme. C’est au cours de ses cheminements à travers la campagne pour visiter ses malades que son inspiration se fait plus facile ; il explique pourquoi il écrit : « les instances de mes amis, les encouragements de quelques littérateurs distingués m’ont décidé à publier ce délassement poétique ; car les Muses charment quelquefois la solitude de mes courses médicales au milieu de nos vallées silencieuses ». Il a composé 3 œuvres remarquables : Le diguement de l’Isère, l’Amédéide et les Géorgiques et les Eglogues de Virgile, traduites en vers français. L’homme de l’épopée impériale avait conservé la raideur du soldat selon le dr Ducret: « sa nature didactique se traduisait dans les traits droits etréguliers de sa figure martiale, dans ses favoris rectilignes, comme tirés au cordeau, dans ses mœurs et ses coutumes ponctuelles, dans sa parole sèche et brusque, dans sa pipe fumée avec méthode ».
Trésal compose « Le diguement de l’Isère », poème couronné par la Société royale académique de Savoie, publié en 1834, à Chambéry, quand l’auteur est docteur-médecin, de Bourg-St-Maurice. En 1834, J.B Trésal obtient le 1er prix au concours de poésie organisé par l’Académie de Savoie ; le thème était : le Diguement de l’Isère. En 1836, J.B. Trésal et A. Ougier obtiennent le prix pour l’Amour de la Savoie. En 1838, le thème était Amédée VI : Jacquemoud a obtenu le 1 prix pour le
Comte Vert et J.B. Trésal le 2e prix.
Il décède à Bourg-Saint-Maurice en 1873.
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Par définition un historien se doit d'éclairer certaines zones d'ombres du passé. Ayant de droit accès à toutes les archives ouvertes, il s'appuie sur ses recherches pour délivrer ses résultats, quitte à briser quelques clichés.
Président de la S.E.H.R.I.
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