Ordre Royal de la Couronne de fer.
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Ordre Royal de la Couronne de fer.
Le comte Serbelloni Marco, Sénateur, préfet de l’Adriatique (Venise).
Je pense qu’il devrait s’agir du Sieur Serbelloni Marco, dans le premier ouvrage de Mr Emanuele Pigni daté de 2007 l’on trouve page 64 Serbelloni, (Ferdinando) 13/01/1809 puis Serbelloni Marco conte del R d’I, 01/05/1806, (date de leurs brevets) puis page 91 Serbelloni Marco,Sénatore,Conte di diritto, (VII S.C., art. 5 con LL. PP. 11 octobre 1810.
Dans le second livre de Mr Emanuele Pigni, de 1974, nous le retrouvons page 122, Serbelloni Marco conte del Regno, 01/05/1806.
Marco Serbelloni (23 juin 1748 - Milan † 6 septembre 1835 - Milan), sénateur du Royaume, comte du Royaume par lettres patentes du 11 octobre 1810.
Écartelé : au 1, des comtes sénateurs du Royaume ; au 2, d'azur à deux griffons affrontés et rampant contre une plante de sorbier ; au 3, de gueules à un cerf élancé d'argent ; au 4, de sinople, à deux barres d'argent.
Le comte Serbelloni Marco, fut nommait préfet de l’Adriatique (Venise), vers 1806 et fut certainement maintenu jusqu'au 10octobre 1809.
Jacques Colomban
https://www.persee.fr/doc/ahrf_0003-4436_1977_num_230_1_4061
Je pense qu’il devrait s’agir du Sieur Serbelloni Marco, dans le premier ouvrage de Mr Emanuele Pigni daté de 2007 l’on trouve page 64 Serbelloni, (Ferdinando) 13/01/1809 puis Serbelloni Marco conte del R d’I, 01/05/1806, (date de leurs brevets) puis page 91 Serbelloni Marco,Sénatore,Conte di diritto, (VII S.C., art. 5 con LL. PP. 11 octobre 1810.
Dans le second livre de Mr Emanuele Pigni, de 1974, nous le retrouvons page 122, Serbelloni Marco conte del Regno, 01/05/1806.
Marco Serbelloni (23 juin 1748 - Milan † 6 septembre 1835 - Milan), sénateur du Royaume, comte du Royaume par lettres patentes du 11 octobre 1810.
Écartelé : au 1, des comtes sénateurs du Royaume ; au 2, d'azur à deux griffons affrontés et rampant contre une plante de sorbier ; au 3, de gueules à un cerf élancé d'argent ; au 4, de sinople, à deux barres d'argent.
Le comte Serbelloni Marco, fut nommait préfet de l’Adriatique (Venise), vers 1806 et fut certainement maintenu jusqu'au 10octobre 1809.
Jacques Colomban
https://www.persee.fr/doc/ahrf_0003-4436_1977_num_230_1_4061
Jacques Colomban- collatio
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Date d'inscription : 20/05/2019
Age : 74
Localisation : Marseille
Re: Ordre Royal de la Couronne de fer.
Bonjour à toutes et à tous
Son frère qui prendra le titre familial.
Gian Galeazzo Serbelloni (6 juillet 1744 – 7 mars 1802) était un noble milanais , notable en tant que président du Directoire fondateur de la République cisalpine et précepteur du poète milanais Giuseppe Parini .
Il est né à Milan de Gabrio Serbelloni, 3e duc de San Gabrio, et de son épouse Maria Vittoria Ottoboni , ce qui fait de lui un membre d'une riche famille noble. À partir de 1776, il fut surintendant de la milice urbaine de Milan. Il a soutenu les idéaux républicains français après l'invasion de l'Italie et l'occupation de la Lombardie par Napoléon Bonaparte , renonçant à ses nobles titres de comte de Castiglione Lodigiano, grand d'Espagne , duc de San Gabrio, seigneur féodal de Romagnano, marquis d'Incisa, co-seigneur de Castelnuovo Belbo. et seigneur féodal de Gorgonzola, Camporicco et Cassina de' Pecchi.
Le 21 mai 1796, il rejoint le premier conseil municipal démocratique de Milan et arrive un mois plus tard à Paris avec Fedele Sopransi et Niccoli pour plaider la cause de la liberté lombarde (selon leurs propres termes « les votes de la nation lombarde pour la liberté ») auprès du Directoire français. . Dans sa Storia dell'invasione dei francesi repubblicani nel Milanese , Pietro Verri a critiqué le choix des hommes pour cette mission diplomatique et leur manque de préparation, rapportant que le discours de Serbelloni au conseil de Milan contenait la phrase "Citoyens, ou mes os resteront à Paris ou Je te ramènerai la liberté". [1] Il revient ensuite à Milan avec Joséphine de Beauharnais , qui séjourne dans son palais Serbelloni .
Il participe à la fondation de la République cisalpine et devient président du tout premier Directoire exécutif à partir du 29 juin 1797. Il quitte ce poste le 20 novembre de la même année pour devenir ambassadeur de la République à Paris. Sept jours après la prise du pouvoir par Napoléon le 9 novembre 1799 lors du coup d'État du 18 brumaire , Serbelloni écrit à Vertemate Franchi, président du Directoire de la République cisalpine : « Bonaparte est consul et en lui j'espère le plus grand bien de notre République. sachez que nous aurons notre indépendance de facto , indépendance qui a été perdue lors de mon départ d'Italie et qui a été opprimée de différentes manières et à différentes époques par de soi-disant patriotes français qui ont proposé différentes mesures, toujours au profit de leur propre argent, depuis le mois de ventôse an VI jusqu'à nos jours". Le 3 frimaire an VIII (24 novembre 1799), Franchi (enfui à Chambéry) ordonna à Serbelloni de féliciter les consuls de France. [2]
Serbelloni accompagna Napoléon en Italie pendant la campagne 1799-1800, retournant à Milan après la victoire à la bataille de Marengo pour remettre de l'ordre dans ses terres et domaines qui furent saisis par les troupes austro-russes de la deuxième coalition lors de l'occupation de la ville. à partir du 29 avril. Il a également contribué à la rédaction d'une nouvelle constitution pour la République cisalpine et a été nommé membre de son Conseil d'État, un conseil législatif de dix hommes., [3] avant de retourner à Paris en tant que diplomate aux côtés d' Antonio Aldini .
Il assista également à la Consulte de Lyon du 11 au 26 janvier 1802 et fut élu peu après au Conseil d'État. Il tomba gravement malade à son retour en Lombardie et mourut à Milan le 7 mars 1802.
Jacques Colomban.
Son frère qui prendra le titre familial.
Gian Galeazzo Serbelloni (6 juillet 1744 – 7 mars 1802) était un noble milanais , notable en tant que président du Directoire fondateur de la République cisalpine et précepteur du poète milanais Giuseppe Parini .
Il est né à Milan de Gabrio Serbelloni, 3e duc de San Gabrio, et de son épouse Maria Vittoria Ottoboni , ce qui fait de lui un membre d'une riche famille noble. À partir de 1776, il fut surintendant de la milice urbaine de Milan. Il a soutenu les idéaux républicains français après l'invasion de l'Italie et l'occupation de la Lombardie par Napoléon Bonaparte , renonçant à ses nobles titres de comte de Castiglione Lodigiano, grand d'Espagne , duc de San Gabrio, seigneur féodal de Romagnano, marquis d'Incisa, co-seigneur de Castelnuovo Belbo. et seigneur féodal de Gorgonzola, Camporicco et Cassina de' Pecchi.
Le 21 mai 1796, il rejoint le premier conseil municipal démocratique de Milan et arrive un mois plus tard à Paris avec Fedele Sopransi et Niccoli pour plaider la cause de la liberté lombarde (selon leurs propres termes « les votes de la nation lombarde pour la liberté ») auprès du Directoire français. . Dans sa Storia dell'invasione dei francesi repubblicani nel Milanese , Pietro Verri a critiqué le choix des hommes pour cette mission diplomatique et leur manque de préparation, rapportant que le discours de Serbelloni au conseil de Milan contenait la phrase "Citoyens, ou mes os resteront à Paris ou Je te ramènerai la liberté". [1] Il revient ensuite à Milan avec Joséphine de Beauharnais , qui séjourne dans son palais Serbelloni .
Il participe à la fondation de la République cisalpine et devient président du tout premier Directoire exécutif à partir du 29 juin 1797. Il quitte ce poste le 20 novembre de la même année pour devenir ambassadeur de la République à Paris. Sept jours après la prise du pouvoir par Napoléon le 9 novembre 1799 lors du coup d'État du 18 brumaire , Serbelloni écrit à Vertemate Franchi, président du Directoire de la République cisalpine : « Bonaparte est consul et en lui j'espère le plus grand bien de notre République. sachez que nous aurons notre indépendance de facto , indépendance qui a été perdue lors de mon départ d'Italie et qui a été opprimée de différentes manières et à différentes époques par de soi-disant patriotes français qui ont proposé différentes mesures, toujours au profit de leur propre argent, depuis le mois de ventôse an VI jusqu'à nos jours". Le 3 frimaire an VIII (24 novembre 1799), Franchi (enfui à Chambéry) ordonna à Serbelloni de féliciter les consuls de France. [2]
Serbelloni accompagna Napoléon en Italie pendant la campagne 1799-1800, retournant à Milan après la victoire à la bataille de Marengo pour remettre de l'ordre dans ses terres et domaines qui furent saisis par les troupes austro-russes de la deuxième coalition lors de l'occupation de la ville. à partir du 29 avril. Il a également contribué à la rédaction d'une nouvelle constitution pour la République cisalpine et a été nommé membre de son Conseil d'État, un conseil législatif de dix hommes., [3] avant de retourner à Paris en tant que diplomate aux côtés d' Antonio Aldini .
Il assista également à la Consulte de Lyon du 11 au 26 janvier 1802 et fut élu peu après au Conseil d'État. Il tomba gravement malade à son retour en Lombardie et mourut à Milan le 7 mars 1802.
Jacques Colomban.
Jacques Colomban- collatio
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